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MaPrimeRenov bientot accessible aux particuliers realisant leurs travaux

Lancée le 1er janvier 2020, MaPrimeRénov’ est aujourd’hui le dispositif phare d’aide à la rénovation énergétique en France. Elle a progressivement été élargie à tous les propriétaires, occupants ou bailleurs, quels que soient leurs niveaux de revenus.

Ouvrir MaPrimeRénov’ aux particuliers réalisant eux-mêmes leurs travaux

MaPrimeRénov’ est-elle victime de son succès ? Si 1,5 million de ménages ont déjà pu bénéficier de ce dispositif d’aide à la rénovation énergétique, retards, complications d’ordre administratif et tentatives d’arnaques par des éco-délinquants se multiplient. L’Agence nationale de l’habitat (Anah) traite pas moins de 25 000 dossiers par semaine, mais le rythme des travaux peine à suivre.

Pour bénéficier de MaPrimeRénov’, aujourd’hui, il est nécessaire de faire appel à une entreprise labellisée RGE (Reconnu garant de l’environnement), dont le nombre stagne à 60 000. Pour fluidifier le système et massifier les travaux de rénovation énergétique, l’Anah envisage d’ouvrir le dispositif aux bricoleurs chevronnés qui réaliseraient eux-mêmes les améliorations, comme des travaux d’isolation. Si le sujet n’est pas encore tranché, c’est une évolution qui « mérite d’être travaillée », estime la directrice générale de l’Anah, Valérie Mancret-Taylor.

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La qualité et le contrôle des travaux de rénovation énergétique au cœur des débats

controle des travaux de renovation energetique

Si ouvrir MaPrimeRénov’ aux particuliers effectuant eux-mêmes leurs travaux permettrait d’accélérer la cadence des rénovations, il est indispensable d’instaurer, en parallèle, un contrôle de la nature et de la qualité des travaux. Aujourd’hui, l’Anah estime à 10 % les cas d’escroquerie sur la totalité des dossiers déposés.

C’est d’ailleurs ce que redoute Jean-Christophe Repon, président de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb). Il s’inquiète du contrôle des travaux, pose la question des assurances professionnelles et alerte sur un risque accru de travail au noir. De plus, il rappelle que depuis 10 ans, les entreprises se forment pour être habilitées RGE. L’Anah insiste donc sur la nécessité d’anticiper les enjeux de qualité, de conformité et de contrôle.

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