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C'est partiOpérationnelle dès le 1er janvier 2017, l’agence pour la biodiversité envisage de regrouper de nombreux acteurs, notamment les citoyens français. Le Credoc a mené l’enquête auprès de 2 008 personnes pour connaître leur opinion sur la participation des Français à cette agence. L’énergie tout compris fait le bilan.
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Amorcée par le projet de loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, la création de l’agence pour la biodiversité a été annoncée en octobre 2012 par le Président de la République lors du discours d’ouverture de la Conférence environnementale.
Les enjeux de cette agence sont de protéger et valoriser la biodiversité en France, aussi bien en métropole qu’en outremer. Les actions de l’agence concerneront à la fois les milieux terrestres, aquatiques et marins. Pour atteindre ses objectifs, elle agira sur différents plans : soutien financier, développement des connaissances scientifiques, gestion des espaces protégés, etc.
Le fonctionnement de cette agence pour la biodiversité sera assuré par plusieurs acteurs tels que des structures nationales, les collectivités territoriales ou les associations. Les citoyens, eux aussi, sont invités à participer aux missions de l’agence.
L’enquête réalisée par le Credoc a permis de mesurer le degré d’engagement que les Français sont prêts à accorder à l’agence pour la biodiversité.
D’après les résultats de l’étude, 85 % des Français se déclarent sensibles à l’environnement. Pourtant, seuls 57 % d’entre eux pensent savoir ce qu’est la biodiversité, soit 4 points de moins qu’en 2010. Plus de la moitié des personnes interrogées considère que la biodiversité est indispensable à la vie sur Terre.
Une immense majorité de Français (92 %) estime que les citoyens ont leur place dans une agence pour la biodiversité. La plupart des personnes interrogées déclarent d’ailleurs vouloir que l’avis des citoyens soit obligatoirement pris en compte dans les décisions prises par l’agence. En ce qui concerne le profil des citoyens impliqués dans l’agence, l’enquête révèle que les Français préféreraient qu’il s’agisse de volontaires. En revanche, une hésitation persiste à propos de la formation ou non des individus collaborant avec l’agence.
Le saviez-vous ?
Les personnes diplômées de l’enseignement supérieur et âgées de plus de 65 ans sont les plus disposées à s’engager concrètement dans des projets liés à la biodiversité.
Pour aller plus loin :