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Le ministère de l’Énergie a annoncé que la réforme du mécanisme de soutien public de l’éolien sera appliquée dès 2017. L’objectif est de contribuer le plus tôt possible au développement des projets éoliens via la vente de l’électricité sur le marché en gros et des compléments de rémunération.

 

Des compléments de rémunération pour booster l’énergie éolienne

C’est une nouvelle avancée pour le développement du parc éolien terrestre français. Initialement prévue en 2018, la réforme du mécanisme de soutien public de l’éolien s’appliquera dès l’année prochaine. Désormais, l’électricité produite par les parcs éoliens français ne sera plus revendue uniquement auprès d’EDF mais sur le marché de gros. Une nouvelle qui réjouit Olivier Perot, le président de France énergie éolienne (FEE) : « L'industrie se préparait à ces évolutions. Nous avons accepté l'idée d'une mise en concurrence sur le marché de l'énergie, c'est le signe de la maturité de notre filière. »

Cette mise en libre concurrence sera assortie d’un complément de rémunération, une prime délivrée par l’État. Cette aide publique permettra de fixer un prix garanti et de lever les incertitudes des investisseurs.

Les petits parcs éoliens bénéficieront de primes en guichet ouvert

Pour donner un coup de pouce aux petits producteurs qui ont des difficultés à commercialiser eux-mêmes l’électricité sur le marché de gros, l’État a décidé que les parcs de moins de six mâts pourront prétendre à un complément de rémunération en « guichet ouvert ». En d’autres termes, l’électricité éolienne devra, à l’instar des autres filières d’énergies renouvelables, être vendue sur le marché concurrentiel où les producteurs de petite taille seront assurés d’avoir un revenu équivalent au niveau de tarif d'achat actuel.

Pour les parcs éoliens à plus de six mâts, s’ils souhaitent toucher un complément de rémunération, ils devront être sélectionnés par appels d’offres (les premiers devraient avoir lieu début 2018). D’ici là, une condition subsiste pour que tout fonctionne comme prévu, prévient Olivier Perot : « le volume doit être de 1 500 à 2 000 MW par an » sinon les objectifs fixés par la PPE (Programmation pluriannuelle de l’énergie) ne seront pas remplis. Les professionnels du secteur de l’éolien terrestre français sont prévenus.

 

Bon à savoir : les parcs éoliens dont la demande de raccordement a été envoyée après le 1er janvier 2016 pourront bénéficier d’un complément de rémunération, et cela même si leur électricité n’a pas été vendue sur le marché de gros.

 

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